vendredi 11 décembre 2009

PREMIERS TOURS DE ROUE

Le 6 décembre 2009 CAPE RANGE NP


Nous avons enfin récupéré le Toy le 26 novembre en l'ayant laissé le 7 octobre à Calcutta...
Il aura fallu 12 jours entre l'arrivée à Darwin et sa sortie du port... manutentions, les "deux" passages aux services de quarantaine...
La quarantaine : une épreuve...Même préparé par les récits des autres voyageurs, j'ai failli craquer...
Il a fallu TOUT sortir, même la vaisselle et les couverts…sur le macadam.
La découverte de l'état du Toy avait, déjà en soi, été un choc : vitre cassée, autoradio disparu.. La vitre a été remplacée en Inde par un morceau de plastique...
Ils ont aussi essayé de pénétrer dans la cellule, en forçant la barre de sécurité, déjà changée, après le premier shipping... A nouveau scie à métaux pour ouvrir… Il faut dire que cette sécurité joue bien son rôle, la cellule n'a pas été visitée.
Mais ce n'est pas le pire... Les Super spécialistes de Calcutta ont placé le Toy sur son flat-rack à l'aide d'un élévateur à fourches, sans cales de châssis, et ont ainsi tordu l'arbre de transmission... A pleurer.
L’auvent : arraché durant les manutentions, a fini dans la benne...
Coût total des réparations et dégâts : 2000 AUD.
Si Perkins nous rembourse, nous payons le champagne à tout le monde!
Une fois l'ensemble récupéré, les formalités ont été vite expédiées (MVR : enregistrement du véhicule, contrôle technique, assurance).
Il nous tarde de prendre la route!
Nous avons 6 semaines de retard sur notre planning et sommes confrontés à l’arrivée de la mousson (le Wet) et surtout aux fortes chaleurs qui la précèdent. Cela va rendre très difficile le voyage et les visites prévues...

SEJOUR A DARWIN DU 2 AU 26 NOVEMBRE

Nous sommes logés confortablement à l’agréable Backpackers Melaleuca : chambre climatisée, télé (3 chaînes australiennes), frigo, cafetière. Super pour le petit-déjeuner au lit.
Il y a une piscine, un barbecue, une cuisine commune.Nous y faisons de nombreux copains et l’ambiance est festive.


C'est au "jug" 1,2 l que se commande la bière...


Les français de Darwin se retrouvent pour une soirée pizza sur le parking de Mindil Beach

Nous découvrons Darwin (capitale du Northern Territory). Population : 100 000 (beaucoup plus en pleine saison).
Ville agréable et cosmopolite avec quelques rues commerçantes, des galeries d’art aborigène, quelques musées, une magnifique bibliothèque (climatisée) dans Parliament House avec wifi gratuit, quelques vieux bâtiments, un waterfront avec superbe wave pool , un beau parc et Mingil Beach avec vue sur le bleu azur de la Mer de Timor.
Le centre se visite en quelques heures et nous sommes vite conscients qu’il faut un véhicule pour voir davantage.







Les conseils pour notre séjour fusent de toute part : nous prenons petit à petit conscience de l'environnement de ce Northern Territory... Ainsi que de toute l'Australie. Nous rencontrerons une flore et une faune exceptionnelles, liées aux conditions climatiques et aux terrains très durs, les serpents les plus venimeux de la planète, des fourmis venimeuses, scorpions... et ici dans le nord, un petit supplément : des crocodiles dans tous les cours d'eau...
Ils ne sont pas tous dangereux, nous explique-t-on! Les freshies (d'eau douce) n'attaquent que quand on les dérange! (la définition du mot dérangement est floue) et les salties (comme le nom l'indique vivant dans l'eau salée), sont eux très voraces, carnivores, ils attaquent principalement dans l'eau, mais on peut les rencontrer dans les hautes herbes, les rochers etc...
Le problème est que les salties se trouvent aussi dans les cours d'eau douce, donc partout.
Facile à comprendre, non ?

Attention à la route... Des centaines de km sans voir personne, des pluies tropicales soudaines qui peuvent submerger de plus de 2 m les routes en un quart d'heure... Ne partez jamais sans le plein de gas-oil, d'eau, de vivres, équipé de 2 roues de secours, d'une balise de détresse...
Et les road trains... Surtout garez-vous...
Qu'ils sont encourageants ces australiens...
Nigel, un sympathique australien nous propose de l’accompagner pour visiter le Litchfield National Park. Cela tombe bien…
Nous voilà partis le 7 novembre dans sa vieille caisse non climatisée (qui contient tout ce qu’il possède). Le parc se trouve à 150 km de Darwin, mais pour les australiens ce n’est qu’une petite ballade. A peine quitté le centre ville, la nature reprend le dessus : de grands espaces plus ou moins boisés, à travers lesquels passe en ligne droite le Stuart Highway.
Enfin nous voyons un peu plus de l’Australie ET … le premier kangourou. Trop incroyable ! Quelle élégance ! Dès qu’on s’arrête ils se sauve, pas facile pour les photos…
La circulation est peu dense (nous croisons une voiture en moyenne toutes les 15 minutes) et la route est monotone. Petite halte à Batchelor : ancienne ville minière qui n’a plus que 700 habitants. Pas grand chose à voir.
Une heure plus tard nous arrivons dans le parc avec ses termitières, cascades, petits ruisseaux (billabongs) et allons nager (avec les crocodiles). Paraît qu’il n’y en a pas, mais les panneaux disent “Baignade à vos risques et périls”. Nous n’allons pas très loin…
Bien rafraîchis, nous partons pour un déjeuner au Safari Camp. Il est déjà 16 h et il faut retourner à Darwin. Nigel choisit une « dirt road », piste de terre rouge traversant le Bush. Encore moins de voitures, mais plus de poussière. Nous sommes de retour à Darwin pour l’apéritif et un dîner préparé par nos soins sur le deck du Melaleuca.
Aperçu d'une des magnifiques pisines naturelles de Litchfield

Nous décidons que notre prochaine excursion sera au Kakadu National Park , le plus grand parc australien, de plusieurs centaines de km carrés. Trois jours en tour organisé.
Au programme :
visite des sites aborigènes aux ensembles d’art rupestre, crocodile cruise, randonnées, les JimJim falls, Ubirr, Maguk, etc. Nous camperons sous les étoiles.
Départ le 13 novembre à 6h du matin. Graig, le sympathique et prolixe guide entasse l’équipe dans la jeep et nos bagages dans le trailer. Nous sommes huit en tout : un couple d’anglais, deux copines écossaises, un italien et un allemand. Sur la route les présentations commencent, démarrage un peu lent vu l’heure matinale, mais Graig remplit tous les blancs, fournit des explications et conduit comme Indiana Jones, avant de se prendre pour Crocodile Dundee.
L'ambiance monte avec la température et nous passons trois jours intenses, sportifs et fort agréables.
Graig aux fourneaux nous concocte ses spécialités : BBQ de kangourou, crocodile...
En apéritif, il nous propose de goûter aux excellentes fourmis au miel, que bizarrement il sera le seul à déguster...
Le groupe est sympathique, ces trois jours sont un réel enchantement.
De ce promontoire à 360 degrés la plaine de Kakadu est inondée durant le wet


















Un des moments favoris de cette excursion est de se baigner dans chaque piscine naturelle qui se trouve sur notre chemin... A 48° sous le soleil, difficile de résister. Mais les crocodiles! Greig nous explique qu'après le Wet les rangers piègent les crocodiles, qui se trouvent dans les endroits où viennent les touristes, pour les déplacer. Ensuite ils placent sur la route de ces magnifiques piscines des pièges, où l'on peut voir faisander des quartiers de viande! En ajoutant bien sûr que les accidents, car il y en a, sont peu nombreux...
Rassurant, non?
Toutes les techniques sont bonnes pour se baigner en toute sécurité : un couple d'australiens se baignant avec leurs enfants, nous expliquent qu'avant de se mettre à l'eau, ils font le tour à pied pour inspecter et qu'ensuite ils envoient « leur chien » en éclaireur...




Des souvenirs pleins les yeux, nous rentrons à Darwin et nous retrouvons tous pour un dîner bien arrosé...
Lors de notre découverte de ce pays 2 sujets nous ont interpellés :
Les Aborigènes : ceux que nous rencontrons à Darwin sont de malheureux exemples du rejet de ce peuple, au cours de l'histoire par les blancs... Alcoolisme, misère...
L'attitude de certains australiens à leur égard peut être choquante. D'un côté ils ne les acceptent pas dans leur société et d'un autre le gouvernement multiplie les expériences d'intégration...? Beaucoup trop tôt, pour nous, pour avoir une idée précise sur ce sujet.
Sur un tout autre plan :
A notre grande surprise nous avons rencontré un très grand nombre de jeunes français venus ici, à la fin de leurs études, pour à la fois voyager, découvrir tout en travaillant. Des petits jobs multiples qu'ils n'ont apparemment aucun mal à trouver sur leur route. Ces visas tourisme-travail, délivrés pour un an aux moins de trente ans, ont un succès fou.
Le 27 novembre nous quittons Darwin. Nous n’y croyons pas. La liberté de voyager à notre gré et l’Australie s’offrent à nous.
Dès la sortie de la ville , la température s'élève dans le bush, pour atteindre près de 45°... Autant dire que pour nous sortir de la cabine climatisée, marcher sous un soleil de plomb dans les terrains difficiles, se révèle une épreuve que nous n'avons pas très envie de nous imposer. Décision est prise de descendre vers des climats plus acceptables en s'arrêtant pour l'essentiel...

Un petit regret : nous ne verrons pas le Kimberley, les Bungle Bungle, etc. mais le choix d'autres sites à visiter reste énorme ... il y a 500 National Parks en Australie.
Nous découvrons le camping à l’australienne. Il est interdit de faire du camping sauvage, mais il y a des campings partout et souvent à des endroits fabuleux. Deux types : les gratuits et les payants.
Le camping gratuit offre un aménagement de base : toilettes, table de picnic, barbecue.
Le parking payant offre d’autres facilités telles que douches, électricité, laverie, cuisine, piscine, etc.
C’est formidable! Quel bonheur après la notre premier voyage ‘dans la rue’ de trouver toutes ces commodités. Et il y a des poubelles partout…le luxe.
Nous faisons les 1900 km Darwin-Broome en 4 jours. Nous avons roulé dans une chaleur torride, bien protégés dans le TOY réfrigéré. Les haltes sur la route sont courtes (chaleur et mouches !). La cellule non-climatisée reste chaude, même la nuit il fait 36°.
La transpiration évacue les bières à grosses gouttes …
A Broome, près de la mer il fait toujours chaud, mais la brise marine rafraîchit agréablement les nuits. Installation au Palm Grove Caravan Park à Cable Beach. Le jour nous visitons la ville et alentours et jouons les crocs « dans la piscine». Notre étape ici durera les 4 jours nécessaires à la réception d'un pneu pour remplacer celui que nous avons explosé sur la route... 40000 km sans crevaison disions-nous il n'y a pas si longtemps!


Cable Beach : une magnifique plage de sable blanc complètement vierge de 20 km de long aux couleurs azur, sur fond de roches rouges... époustouflant... Mais trop chaud pour faire un jogging…


Sur la route de Broome : Argyle Lake


Les baobabs caractéristiques de l'ouest australien


Des endroits merveilleux pour s'arrêter, se rafraîchir? comme ci-dessous au Cape Keraudren
s'il n'y avait pas...



Et bien entendu sur la route, les road trains... 53 m de long...


des avertissements bien utiles


Départ le 4 décembre : en route vers Exmouth, 1500 km plus bas. La chaleur devrait y être plus acceptable.
Nous passons par le Cape Keraudren, Karratha, Dampier et arrivons à Exmouth au Cape Range Park le 6 décembre vers 17h30. Quelle surprise ! Faudrait presque sortir les pulls. Le vent marin souffle et nous avons perdu une dizaine de degrés. Installation au Tulki Beach Camp où nous savourons la fraîcheur.
Le Cape Range Park (réserve terrienne) et le Ningaloo Reef (réserve marine) se trouvent côte à côte. Il y a peu de monde, la saison haute se terminant en novembre.
Au programme : promenades, snorkeling, lecture, farniente. Et sous nos yeux les couleurs turquoise du lagon tranchant sur le sable blanc. Nous nous installons pour quelques jours au Yardie Creek.
Nos premières photos de wallabies et de kangourous...













Notre trajet depuis Darwin : Katherine,Timber Creek, Kununurra, Halls Creek, Fitzroy Crossing, Broome, Port Hedland, Karratha, Nanutarra, Winning, Exmouth et le Cape Range.
3400 km...

lundi 9 novembre 2009

DE CALCUTTA A DARWIN

Darwin le 8 novembre 2009. 

Nous sommes arrivés ici le 2 novembre à 3 h du matin, 27°. Décalage horaire : Paris + 8h30. Il fait beau, 35°, les gens sympas, ouverts, la bière coule à flots… le pays à découvrir immense. A suivre… 

Pour l’instant il nous faut d’abord retrouver notre Toy ! Il « devait » arriver le 6 (en ayant pris une semaine de retard au départ pour une cause qu’il nous faudra découvrir ?) : Le capitaine n’a pas voulu l’embarquer avec une vitre cassée et il a fallu la faire réparer ? Il me semblait que nous l’avions laissé entier ? 
Bref, le 5 en insistant beaucoup, nous apprenons que le bateau à eu des problèmes de moteur entre Singapour et l’Australie et qu’il est retourné à Singapour… Et bien sûr nous serons prévenus… S’il arrive un jour...
Nous sommes vraiment vernis avec ces shippings… Il sera temps demain, lundi, de recommencer le siège de la Cie pour avoir des bribes de renseignements… A suivre…

RETOUR SUR LE TRAJET 

 SINGAPOUR : Après Calcutta, enfin de la douceur. Nous nous attendions à retrouver un second Dubaï, avec ses tours, ses centre commerciaux et son luxe… 
Bien entendu il y a tout cela mais en plus de la décontraction, des endroits vraiment agréables pour se promener, prendre un verre, dîner en terrasse… Une ville où l’on a refoulé la voiture et multiplié les moyens de transport en commun est tellement plus agréable… 
Quand Paris va-t-elle retrouver ses quais de Seine et en faire un grand jardin… On ne peut qu’en rêver et l’espérer en voyant cet exemple. L’ambiance est assez décontractée, le temps excellent, 32°, les expats (qu’ils sont nombreux !) rencontrés nous paraissent heureux de leur sort. Nous y passons 4 jours (9 au 13 octobre) et poursuivons ensuite notre route vers l’Indonésie, au programme : Java puis Bali. Quelques images de la ville :
Une table avec un peu de vin pour rassurer Götz...
Visite du magnifique "Botanic Garden" avec ses milliers d'orchidées
Le superbe théâtre en forme de "durian" (sans l'odeur)
JAVA : Arrivée à Jogjakarta au centre de l’Ile : ce sera le point de départ de notre découverte rapide de l’Indonésie. C’est aussi son centre culturel et à proximité : BOROBUDUR le plus grand monument bouddhique du monde… 
Nous arrivons juste après le tremblement de terre de Sumatra (à 1200 km) et il est impossible de ne pas penser à la vie de ces populations sous la menace permanente de tous les maux de la Terre… Inondations, tsunami, éruptions volcaniques, tremblements de terre… 

Et le pire restant à venir : les experts s’accordent à dire qu’un tremblement de terre à la force jamais atteinte est attendu ! Le pays avec son énorme densité de population, le niveau de ses salaires (40 € par mois pour un ouvrier) est un gigantesque centre de production… Plus industriel que nous ne l’avions imaginé, excellent réseau routier et équipements collectifs, habitat, convenables…

Nous avons rencontré un entrepreneur français qui a créé une petite boîte il y a 5 – 6 ans et qui emploie maintenant 2000 personnes et exporte dans le monde entier ses emballages plastiques les plus divers… Il faut dire, peu d’impôts, de charges sociales… Nous passons 3 jours agréables.

Visite de JOGJAKARTA
Une petite visite au marché des oiseaux pour conjurer la grippe aviaire

BOROBUDUR
PRAMBANAN (une myriade de temples hindous qu’on n’arrête pas de reconstruire, après chaque tremblement de terre…)
Et nous partons pour BROMO le volcan sacré des Javanais situé dans l’est de l’Ile. 

Un peu d’aventure : environ 5 à 600 km, 12 heures dans un van non climatisé… Un peu usés à l’arrivée vers 21 h logés dans un hôtel minable (qui n’était pas celui retenu), pour une courte nuit puisqu’il faudra se lever à 3 heures et se rendre sur un site surplombant le volcan vers les 4 h pour assister au lever du soleil… 
Enfin tout cela était dans la plaquette de l’agence de voyage…Courte nuit, mais spectacle superbe… ensuite retour au volcan et petite escalade d’1 h pas aussi facile qu’attendu à près de 3000 m dans les fumées de souffre…
Il ne faut pas traîner car le petit déjeuner (compris dans le prix) sera servi vers 9 h et le départ vers Bali 1 h plus tard… 
En fait, à partir de là, on nous a collé dans un transport collectif qui s’arrêtant à tous les villages nous a encore trimballé 8 heures avant de nous laisser assez loin de l’embarcadère pour Bali qu’il a fallu rejoindre en taxi… 
On s’est fait quelque peu pigeonner sur ce coup… Alors que tout était prévu (et payé) il faut à nouveau sortir nos sous pour le bateau et aussi le taxi à l’arrivée, la nuit tombée, pour rejoindre Permuteran où nous avions décidé de profiter 2 ou 3 jours de la plage pour enfin admirer les fonds marins si réputés…Il faut bien profiter de ces gogos de touristes.


PERMUTERAN A L'OUEST DE BALI
BALI « l’Ile des dieux » charme, beauté, douceur… 

Quel contraste avec Java, dans cette Ile ou tout est dédié aux dieux (un mélange de bouddhisme et d’hindouisme), partie singulière de ce grand archipel qu’est l’Indonésie dans lequel se trouve la plus grande population musulmane de la planète… (+ de 200 millions) Echaudés par notre précédent périple nous prenons un taxi « individuel » pour rejoindre notre prochaine étape UBUD.C’est l’occasion de découvrir la campagne, formée autour des nombreux volcans, taillée durant des millénaires pour y accrocher les rizières en terrasses qui émerveillent les touristes…

 Mais que le travail à la main doit y être dur…Nous sommes surpris par la multitude de petits temples (au moins un par maison et un plus grand par quartier et encore un plus grand par village… recevant constamment les offrandes multiples et colorées de toute la population pour toutes les circonstances de la vie en commençant par les remerciements pour chaque nouveau lever de soleil…). 
Nous alternons les lacs d’altitude et les vallées, et trouvons à UBUD un hébergement très agréable, près de la Monkey Forest. Lieu idéal pour découvrir la culture et la région. Près de tout et hors de l’agitation des plages à « surfeurs australiens » de KUTA.

UBUD
Le musée Antonio Blanco, le "Dali de Bali", extraordinaire
Monkey Forest
Une petite semaine de pur bonheur avant de céder aux démons de la curiosité et départ pour KUTA… Une nuit nous suffira pour détester ce lieu… 
Temple des routards, bruit, activité nocturne démesurée… pas notre tasse de thé… Nous essayons SEMINIAK, 3 jours mais pas beaucoup plus intéressant.

 
Les surfeurs australiens
Une petite offrande ne peut faire que du bien...
JIMBARAN : dîner de fruits de mer les pieds dans l'eau, gargantuesque

 
Et des ballades : Visite de GOA GAJAH

 
YEH PULULUH
Beautés locales...
TAMPAK SIRING
Durian avec odeur
BEZAKIH
Le plus grand temple de Bali et le plus vénéré
Il nous restait à découvrir l’extrême est de l’Ile et AMED et allons l’explorer et y rester si cela correspond à nos espoirs… 
Oui, cette région, beaucoup moins touristique, est magnifique. Nous y passerons notre dernière semaine (après avoir décidé de ne pas visiter Lombok, trop loin, trop cher, trop… comme dirait Jean Jacques…) Et puis on ne va certainement pas être privés de beauté dans les mois à venir…

 
Couleurs flamboyantes des prahu

 
Baptême et offrandes à la mer



DERNIERE MINUTE : Le bateau est annoncé pour le 14 novembre, mais protection sanitaire oblige, nous ne pourrons commencer le dédouanement que le 19... Si pas de contre-ordre...

Il va falloir s'occuper...

A suivre...